mardi 21 octobre 2008
En Version Originale (VO)
Nous souhaitons par ce blog vous faire vivre une expérience politique aux États-Unis, à travers notre regard de jeunes européens et ce sera… en langue originale : c’est ainsi que nous vivons notre quotidien !
Nous ne traduirons pas les documents en ligne, quelle que soit la langue d’origine : pratiquer l’autre, être ouvert à sa culture et à sa pensée, c’est aussi faire l’effort de le comprendre. Goûter les accents (l’accent de nos interlocuteurs américains en français, ou l’accent français par exemple des journalistes en anglais ou le nôtre) c’est une des grandes richesses de l’échange culturel, source de rires souvent, qui fait tomber les inhibitions aussi.
Chaque jour à Bruxelles, nous portons la langue française et l’on est surpris de voir à quel point sa déshérence n’est que fantasmée, grâce à nos hôtes belges essentiellement, et comme beaucoup d’européens ont plaisir à la partager avec nous. Cet effort n’a pas de sens aux États-Unis, dans une relation bilatérale, et nous parlerons comme d’autres parlent chez nous : la langue du cru, avec force gestes et mimiques s’il le faut.
Si nous croisons des « minorités », par exemple hispanique, nous laisserons également libre court à leur expression spontanée, et nous nous réjouirons de ne pas parfaitement comprendre les mots parfois, mais de percevoir le ton, le geste, l’expression du visage.
Espérons que cette plateforme se transforme aussi, à l’image de la société d’aujourd’hui, en une agora variée et multicolore.
Nous ne traduirons pas les documents en ligne, quelle que soit la langue d’origine : pratiquer l’autre, être ouvert à sa culture et à sa pensée, c’est aussi faire l’effort de le comprendre. Goûter les accents (l’accent de nos interlocuteurs américains en français, ou l’accent français par exemple des journalistes en anglais ou le nôtre) c’est une des grandes richesses de l’échange culturel, source de rires souvent, qui fait tomber les inhibitions aussi.
Chaque jour à Bruxelles, nous portons la langue française et l’on est surpris de voir à quel point sa déshérence n’est que fantasmée, grâce à nos hôtes belges essentiellement, et comme beaucoup d’européens ont plaisir à la partager avec nous. Cet effort n’a pas de sens aux États-Unis, dans une relation bilatérale, et nous parlerons comme d’autres parlent chez nous : la langue du cru, avec force gestes et mimiques s’il le faut.
Si nous croisons des « minorités », par exemple hispanique, nous laisserons également libre court à leur expression spontanée, et nous nous réjouirons de ne pas parfaitement comprendre les mots parfois, mais de percevoir le ton, le geste, l’expression du visage.
Espérons que cette plateforme se transforme aussi, à l’image de la société d’aujourd’hui, en une agora variée et multicolore.
Mot-clefs :
babel,
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